209 RECIT (s)

Ce récit se présente sous la forme d'un journal, celui d'Angélika, l'amie et belle soeur de Klara qui revient d'Auschwitz à Paris apès une déambulaion à travers l'Europe en août 1945.
Le journal s'organise autour de la parole de Klara qui, jour après jour, pendant un mois, dévcoile ce qu'elle a vécu.
Pas de lamentations, mais elle dit froidement, avec force et violence, sa stupeur et sa colère permanente son incapacité à accepter les codes de la vie redevenue normale. Elle refuse de revoir sa fille de trois ans et partira, au bout d'un mois, en Amèrique. Il existe peu de recits sur le retour des déportés et leur dufficile réadaptation à la vie quotidienne.

Dans ce récit, Jacques Bénichou raconte dix ans de sa vie de fils d'Algérie: son enfance après de ses parents et de ses deux soeurs, à Tlemcen, dernière grande ville avant la frontière marocaine, puis sa vie professionnelle de jeune adulte, de Palikao à Oran. Un destin bouleversé, comme celui d'un million de pieds-noirs, par la violence et la tragédie de la guerre.

Avec humour, dans un style bon enfant propre à celui qui est ici la figure emblématique de cette Bresse jurassienne évoquée, le narrateur redonne vie à tout un univers à la fois proche mais déjà lointain

Dans ce récit mêlant souvenirs, réflexions et anecdotes, l'écrivain se souvient de sa période de STO en Allemagne, et de son aventure dans la presse satirique avec Hara-Kiri et Charlie Hebdo, et témoigne des atteintes de l'âge et de la maladie de Parkinson.

Une quarantaine de textes courts racontent les petits plaisirs et les moments de bonheur de la vie quotidienne.

Résumé :
Dans le prolongement de La chute de cheval et Théâtre intime ce récit évoque Olivier, frère jumeau de l'auteur décédé à la veille de ses six ans. Convoquant sa mémoire et se référant à la littérature ou aux ouvrages scientifiques consacrés à la gémellité, J. Garcin témoigne de son rapport à la vie conditionné par le sentiment de la présence fantomatique de ce frère décédé

Un père fait parler son fils, foudroyé par une méningite à 20 ans. Il raconte le deuil et décrit les jours et les semaines qui suivent son décès. Goncourt du premier roman 2011

Ce récit raconte six mois d'ermitage dans une cabane, dans les profondeurs de la taïga sibérienne : les moments de solitude, la lutte pour la survie, les moments de paix, d'extase et d'osmose avec la nature, etc.

Histoires de terroir recueillies par un médecin bourguignon à la retraite, mélangées avec des souvenirs d'enfance ou des contes.

Un chien qui devient porte-parole est une idée déjà bien exploitée. Ici, c'est l'approche originale qui change, créant un récit alléchant à souhait.Toutoune est un chien pas comme les autres, qui porte haut la plume du bout de sa patte pour vous faire partager la vie qui vibre alentour dans un petit hameau perdu au coeur de la Bourgogne. Des petits riens qui prennent sens sous ses mots alertes, s'entrechoquent pour mieux rebondir. Toutoune, avec sa verve coutumière, donne des petits coups de gueule parfois, mais le plus souvent, ses mots sont tendres et drôles

En mars 2000, Syvie Massart et Florence Archimbaud décident de fêter le n ouveau millénaire par un tour du monde à vélo, pour aller au bout de leur rêve, sans sponsors, sans moyens logistiques hors du commun, sans expérience des voyages, ni du vélo...

Témoignage de celui qui a inspiré le personnage d'Omar Sy dans le film Intouchables sorti en 2011. Abdel Sellou livre une surprenante version de cette fabuleuse aventure, à la fois leçon de vie, voyage initiatique et balade hilarante aux instants d'émotion explosifs.

Ce récit raconte le parcours de C. Hachemi pour le droit des femmes afghanes, ses combats, ses erreurs, ses victoires et ses échecs

On sait qy'Anny Duperey aime les chats mais deluis qu'elle élève des poules, comme sa grand-mère le faisait, elle aime aussi ces aimables animaux qui, depuis des millènaires nous offrent leurs oeufs et leur chair ... D'un sujet qui peut paraître mineur, Anny Duperey a su faire un livre d'amour et de sagesse, sensible, sans sensiblerie, amusant et troublant, humble et profond toujours généreux. Elle prédit, dans sa conclusion, que d'ici quelques années les gens des villes lèveront des poules sur leur balcon.

Professeur à l'université de Tokyo, M Ferrier vit au Japon depuis une vingtaine d'années. Il a assisté de prés au tremblement de terre et à la catastrophe de Fukushima

Le 29 février est une date qui n’existe que tous les quatre ans. C’est aussi le jour de naissance de Thaïs û la petite princesse d’Anne-Dauphine Julliand û, atteinte d’une maladie génétique orpheline. Thaïs a vécu trois ans trois quarts. Elle a eu une courte vie, mais une belle vie. Le jour où le 29 février réapparaît sur le calendrier, Anne-Dauphine s’offre une parenthèse, sans travail ni obligations. Elle veut vivre pleinement cette journée particulière : Thaïs aurait eu huit ans ! Le passé se mêle au présent. Chaque geste, chaque parole prend une couleur unique, évoque un souvenir enfoui, suscite le rire ou les larmes. Anne-Dauphine Julliand aime à penser qu’il est possible de gravir des montagnes en talons hauts. Elle a le talent de croquer les émotions de tous les jours. Elle nous raconte sa vie de famille pas tout à fait comme les autres : l’homme de sa vie, Loïc, ses fils Gaspard et Arthur, mais aussi Azylis, son autre princesse, malade elle aussi. C’est une leçon de bonheur et une merveilleuse histoire d’amour, qui se lit d’un souffle, le coeur au bord des larmes.

En habillant leur époque, 12 couturières ont écrit, chacune, une page d’Histoire. Plus qu’une griffe, elles ont laissé une marque et leurs noms sont inscrits à jamais dans les mémoires : Rose Bertin (la couturière de la reine Marie-Antoinette), Jeanne Paquin, Jeanne Lanvin, Madeleine Vionnet, Coco Chanel, Elsa Schiaparelli, Nina Ricci, Madame Grès, Carven, Sonia Rykiel, Vivienne Westwood, Miuccia Prada. Modiste royale, couturières de génie, stylistes emblématiques... chacune à sa manière, arbitre de la mode, a trouvé le droit fil et s’est jouée des coups d’épingles du destin. Pionnières, combatives, elles ont alimenté les passions, imposé des codes vestimentaires, brisé des tabous. Leurs vies constituent un défilé de drames, de rivalités et de passions.

Dans ce récit à la première personne, la romancière revient sur l'histoire de son père, hospitalisé en 2008 après un accident vasculaire cérébral à l'âge de 88 ans. Diminué et supportant mal la dépendance, cet homme curieux de tout et aimant la vie lui demande de "l'aider à en finir