Ce récit se présente sous la forme d'un journal, celui d'Angélika, l'amie et belle soeur de Klara qui revient d'Auschwitz à Paris apès une déambulaion à travers l'Europe en août 1945. Le journal s'organise autour de la parole de Klara qui, jour après jour, pendant un mois, dévcoile ce qu'elle a vécu. Pas de lamentations, mais elle dit froidement, avec force et violence, sa stupeur et sa colère permanente son incapacité à accepter les codes de la vie redevenue normale. Elle refuse de revoir sa fille de trois ans et partira, au bout d'un mois, en Amèrique. Il existe peu de recits sur le retour des déportés et leur dufficile réadaptation à la vie quotidienne.